J’ai choisi les deux portraits
qui s’agissent les exériences des deux étudiants
étrangers en France qui s’appellent Ryohei Ozaki et Nguyễn Họa My. Leurs expériences m’intéressent beaucoup.
Ryohei
Ozaki est un japonais. Il est né à Tokyo. Quand il avait 3 ans, sa famille a déménagé
aux États-Unis et maintenant,
il étudie à l’université de Princeton. Il a commencé à apprendre le français quand il avait 8-9 ans. Selon lui, la
langue française est
très fluide comme de l’eau. En troisième année à l’université, il a participé à
un programme d’échange entre son université aux États-Unis et l’École Normale
Superieure (ENS) en France. Il a appris les cours de muséologie, cinéma et
phylosophie à ENS. À son avis, il pense que l’éducation en France est plus
rigide que celle aux États-Unis. Il a le plan à suivre les études en France
après être diplômé à Princeton.
Nguyễn Họa
My est une vietnamienne. Elle est née à Hanoï.
Elle a commencé le français au
collège dans une classe bilangue (vietnamien-français). Après être diplômé le baccalauréat
au Vietnam, elle a continué ses études en littérature en France. Au début, elle
a eu des difficultés à comprendre les notes, parler aux autres. Ses autres expériences
sont les manière à apprendre la littérature et la phylosophie. Il y a surtout
des critiques dans la littérature français au lieu des imaginations. En phylosophie, elle
a appris une autre complètement différente manière à réfléchir. Maintenant,
elle est en traine d’étudier à l’école d’INSEEC. Elle veut travailler dans une
organisation culturelle comme l’UNESCO dans le futur.
Bien
qu’il y a des différences entre leurs expériences. Je pense que les deux
étudiants ont le même rêve. C’est qu’ils veulent suivre leurs travailles en
France.
Thai-Chau vous avez fait un bon travail d’écoute de ces deux portraits, résumant le parcours de ces deux étudiants et leurs opinions sur leur rencontre avec la culture française.
RépondreSupprimerIl manque juste une troisième partie qui pourrait être un commentaire personnel sur ces deux parcours : qu’est-ce qu’ils évoquent pour vous, quelles relations avec votre propre parcours d’étudiant vietnamien en France ?
C’est ce que l’on attend lorsque vous annoncez « Leurs expériences m’intéressent beaucoup ».
D’un point de vue linguistique vous avez déjà une bonne maîtrise de l’écrit en français avec une syntaxe simple (phrases courtes) mais juste ce qui est une très bonne manière d’aborder l’écrit.
Corrections grammaticales :
- « les deux portraits qui s’agissent de » : qui parlent de. On utilise le verbe « s’agir » de manière impersonnelle : il s’agit de.
- On est japonais, vietnamien, français. Pas d’article devant la nationalité dans ce cas.
- On apprend quelque chose (une langue, un instrument…) et on prend des cours de quelque chose.
- « plus rigide que celle aux Etats-Unis » : plus rigides qu’aux Etats-Unis, pas besoin d’un pronom démonstratif dans ce cas.
- « A son avis, il pense », répétition : une seule des deux formules suffit.
- « Il a le plan à suivre » : Il a planifié (prévu) de suivre ses études
- « Après être diplômé » : après l’obtention de son diplôme.
- « faire des études de littérature »
- « les manières d’apprendre »
- Attention à l’orthographe, vérifiez : philosophie et à l’accord nom- adjectif « littérature française »
- « une autre complètement différente manière » : attention on peut mettre un adjectif entre l’article et le nom mais pas plus : « une autre manière complètement différente »
- « C’est qu’ils veulent suivre leurs travailles en France » : on suit ses études, pas son travail. Attention à l’orthographe du mot travail. Et enfin « leur travail » sera au singulier, ils n’ont chacun qu’un travail. On pourra ainsi dire « C’est qu’ils veulent tous les deux travailler en France ».
Je vous remercie de vos corrections. Je voudrais ajouter la partie qu’il manque. Bien que mes études sont un peu différentes car j’habite en France depuis juste 3 mois, mais je pense que j’ai les mêmes expériences dans les premiers jours et le même rêve de continuer à suivre le travail ici après les études
SupprimerBonsoir Thai-Chau, j'ai 3 questions sur le reportage de Ryohei pour toi.
RépondreSupprimer1. Quelle est la différence académique entre les Etats-Unis et la France?
2. Grâce au campus à Paris, qu'est-ce qu'il gagne?
3. Comment ses expériences américaines, japonaises et françaises influencent sa vie?
Bonsoir Jia, ce sont mes réponses:
RépondreSupprimer1. Dans le portrait, il a dit en général que l’éducation françaises est un peu plus rigide qu’aux États-Unis. Il a donné un autre exemple que les étudiants et les professeurs sont très proches à l’université de Princeton. Il peut les voir dans le campus ou dans les bibliothèques.
2. Ce n’est pas clair dans le portrait mais je peux inférer qu’il a pu gagner des connaissances académiques et culturelles françaises
3. Il a eu l’opportunité de decouvrir les cultures de ces pays. Surtout la musique, il aime les musiques américaines et françaises.