dimanche 30 novembre 2014

Thai-Chau TRUONG - CG2

J’ai choisi l’article de l’étudiante Cristina Pastorelli. Le lien est http://plus.franceculture.fr/factory/le-monde-est-un-campus/italie-cristina-pastorelli. Elle est une italienne. Elle est née en ville La Pila. C’est une ville moyenne, belle et ancienne. En 2009, Il y a eu un tremblement de terre et sa famille a dû déménager à une autre ville à côté de La Pila. Ces jours-là, elle avait 14 ans et elle a déjà démarré à étudier dans un lycée. Grâce à une association qui s’appelle AFS et qui permet des étudiants de participer à un programme d’échange avec un autre pays, elle a l’opportunité d’étudier en France. La France toujour l’intéresse. Elle a appris le français pendant 3 ans au collège. Pendant le temps en France, elle peut observer des differences entre les lycée français et italiens:
-        Le niveau de matière, il y a beaucoup d’attention en France. Par exemple, dans les practiques des matières scientifiques, il y a souvent beaucoup d’utilisation de logiciel.
-        La modelité de contrôle: Elle a habitué avec des contrôle d’orale en Italie. Mais ici, il y a plusieur de contrôle d’écrite.
-        Les professeurs et les élèves: Les professeurs italiens sont un peu plus informels et les étudiants français ont plus de collaboration.
Une de ses grandes experiences est quand elle habitait dans une famille française en Dordogne. Il y avait des particularités tel que les dîner commencent de 7h30 à 8h, c’est plus tôt que celuis en italie; des plats avec des succissons, du fromage, etc sont toujours magnifiques. En plus, elle a vu aussi des differences culturelles intéressantes:
-        Les personnes dans un rencontre font souvent des bises. C’est pas populaire en Italie. Chez elle, les gens bisent leurs camarades ou quelque chose très jolie.
-        Il y a un peu plus de liberté en France. Les gens s’habillent avec une façon libre.

Elle est contente parce qu’elle a obtenu un Baccalauréat scientifique avec mention. Elle n’est pas sûre encore qu’elle retournera en France pour continuer ses etudes. Dans tous cas, elle voudrait suivre ses études en médecine. Pour elle, le temps en France est très magnifique. Elle a des nouveaux liens d’amité avec des français.

Travail pour le 2 décembre

(le lien du reportage:http://plus.franceculture.fr/factory/le-monde-est-un-campus/roumanie-ramona-radu)

    Cette fois, j'écoute du reportage de Ramona Radu, qui est une étudiante roumaine à l'université Paris 1. Sa spécialité est science politique. D'après sa parole, je trouve qu'on a beaucoup d'aspects en commun et c'est une surprise que je n'anticipe jamais. Elle dit que ses grands-parents lui disaient de faire attention de la nourriture et surtout la manière de qu'elle s'habille. De mon point de vue, les enfants occidentaux sont plus libres que ceux en Asie. En conséquence, ils peuvent portent n'importe quel vêtement dont ils ont envie et il n'y a que les parents orientaux ayant besoin de contrôler chaque aspect de leur enfants. En plus, elle parle du régime communiste de la Roumanie avant 1989. Le plupart de ce qui s'est passé là a aussi existé en Chine. Par exemple, la nourriture était distribués selon le nombre de membre de la famille. Tout le monde était pauvre mais presque égal. Même si ce sont des réalités plutôt négatives, je me sens plus proche de la Roumanie que je ne connaissais que du vampire avant, parce que la Chine partage une partie d'histoire similaire avec la Roumanie. Une autre chose m'intéresse est son souhait de changer l'image de les français sur les roumains. Au lieu de le pays natal des voleur, elle espère que les gens penseront que la Roumanie est un pays riche dans point de vue culturelle. Et mois aussi, je souhaite que la culture chinoise sera plus diffusée et plus connue par les étrangers et les gens ne s'intéresseront pas seulement au régime chinois. 

Travail pour le 3 Decembre

J'ai reécouté l'acticle "Quand Amélie Poulain débarque en Chine…". Ci-dessous sont les cinq questions.
1.Vous venez d'où exactement en Chine?
2.Quel sport est-ce que vous aimez?
3.Pourquoi vous choisissez étudier en France?
4.Quelle est votre première impression de la France?
5.Qu'est-ce que vous trouvez la différence entre la France et la Chine?

La différence de Cénena entre la Chine et la France
"Interstellar", c'est le premier film que j'ai regardé en France. Ici, je ne fais rien commentaire sur ce film, seulement l'expérience du cinéma de MK2.  Je ne vais jamais aux autres cinémas à Paris, peut-être il y a une erreur. Si ça, m'excusez.

Au cinéma de MK2, il y a beaucoup de Borne pour acheter ou prendre la billet qu'on a déjà demandée sur Internet, c'est pratique et gagner le temps. En Chine , on n'a pas beaucoup ce type de machine et généralement on achete la billet dans la caisse. En même temps, j'ai vu certaines serveurs, pas beaucoup, comme en Chine.

Cependant, après avoir passé le contrôle, quand je suis arrivé à l'entré de la salle, j'ai trouvé que je devais faire la queue! Il signfiais que j'aie pas le bon siège. Ensuite, j'ai regardé mon billet, j'ai pensé que peut-être il y a un numéro de siège. Mais, c'etait dommage, il n'y a pas. En fin, j'ai assis le siège à gauche.

En chine, on peut choisir le siège en avance. C'est mieux.



mercredi 26 novembre 2014

Hung FLE-CG2


J'ai choisi l'article Egypte: croire en l'humanité plutôt qu'en une religion

Osama Sayed vient d’Égypte. Son père est égyptien musulman et ma mère est irakienne chrétienne. Sa famille habitait à Lybie pour qu’il suit une meilleur éducation.


Réligion
Il a absorbé la réligion musulman et aussi la réligion chrétien. Quand il a été un enfant, il a la chance d’exposer plusieurs réligions. Et il croit qu’il n’y a pas le choix correct ou le choix mauvais.

Éducation
Pour son école à Lybie, il a dit que « il n’y a pas les ceinture dans cette école ». Cela veut dire que l’information est libre et nous pouvons les trouver dans la bibliothèque. Il a appris à réfléchir.

En Égypte, les bibliothèque sont souvant fermé. Ensuit, les professeurs donnent juste certaine information à les étudiants, seulement les information qui sont testé.

lundi 24 novembre 2014

Le pouvoir des petites tours Eiffel

J'ai suivi le web-radio "Le pouvoir des petites tours Eiffel".

Melanie Rueda Novoa vient de la Colombie, maintenant elle est en France peut-être il faut rendre grâces à des porte-clés en forme de tour Eiffel !
Elle est née à Bogotá, la capitale de la Colombie. Son père est né à la région chaude mais sa mère est née à la région froide. Ses grands-parents déménageaient donc ses parents rencontraient.
L’anglais est la première langue étrangère en Colombie, mais son grand père aimait la France, donc elle a suivi des cours à l’Alliance française au lycée, tous les weekends durée deux heures pendant trois année avant finir le lycée. Elle a voyagée aux États-Unis, mais elle n’a pas des expériences de vivre à l’étranger, donc sa mère n’était pas d’accord avec son envie d’étudier en France juste après finir le lycée.
Mais finalement, elle a réussi de venir en France et elle a choisi étudier l’histoire de l’art. Elle ne chosait pas étudier à l’école parce que c’est cher. Elle trouve que pendant ces années le design est un peu sérieux pour elle, et elle veut savoir plus sur l’art en histoire. Elle aime les cours parce qu’ils sont agréables comme en vacance !
Apres suivi son expérience, je me trouve le pouvoir de la culture. La culture est très grande, peut-être elle est un peu chimérique, mais elle a aussi en grand pouvoir qui peut changer le destin de quelqu’un ! Elle a changé le destin de Melanie, et pour moi aussi ! Je aime la culture de la France donc j’ai choisi de étudier ici pour mieux la comprendre.





FLECG1 - Consignes de travail pour le 9 décembre

Prenez le temps de bien lire les consignes

Travail individuel, pour tous les étudiants
durée de travail estimée : 2h
date limite : 2 jours avant votre cours

Imaginez que la journaliste du "Monde est un campus" vient vous interviewer pour son émission. Réécoutez les portraits des étudiants que vous avez choisis en vous concentrant, cette fois, sur les questions de la journaliste. Faites attention à sa façon de poser les questions et consultez le lien suivant pour vous aider : L'interrogation

Ecrivez 5 questions que vous aimeriez que cette journaliste vous pose.

Ecrivez ensuite, dans un texte de 10 à 15 lignes, un commentaire sur une différence culturelle que vous avez rencontrée en France et qui vous paraît importante :
- Décrivez le plus précisément cette différence (donnez des exemples)
- Essayez de trouver des raisons possibles à cette différence (géographiques, politiques, religieuses, etc.)
- Comment vivez-vous cette différence (impressions, sentiments, questions
que cela provoque en vous) ?

Pensez à organiser et articuler vos idées.

Au prochain cours, vous devrez poser vos questions aux autres étudiants et
nous échangerons sur ces différences culturelles.

FLE-CG2 - Consignes de travail pour le 3 décembre

Prenez le temps de bien lire les consignes

Travail individuel, pour tous les étudiants
durée de travail estimée : 2h
date limite : 2 jours avant votre cours

Imaginez que la journaliste du "Monde est un campus" vient vous interviewer pour son émission. Réécoutez les portraits des étudiants que vous avez choisis en vous concentrant, cette fois, sur les questions de la journaliste. Faites attention à sa façon de poser les questions et consultez les deux liens suivants pour vous aider : Bonjour de France, Connectigramme.

Ecrivez 5 questions que vous aimeriez que cette journaliste vous pose.

Ecrivez ensuite, dans un texte de 10 à 15 lignes, un commentaire sur une différence culturelle que vous avez rencontrée en France et qui vous paraît importante :
- Décrivez le plus précisément cette différence (donnez des exemples)
- Essayez de trouver des raisons possibles à cette différence (géographiques, politiques, religieuses, etc.)
- Comment vivez-vous cette différence (impressions, sentiments, questions
que cela provoque en vous) ?

Pensez à organiser et articuler vos idées.

Au prochain cours, vous devrez poser vos questions aux autres étudiants et
nous échangerons sur ces différences culturelles.



Elena Lasko, ou quand sourire devient un signe culturel distinctif

http://plus.franceculture.fr/factory/le-monde-est-un-campus/elena-lasko-ou-quand-sourire-devient-un-signe-culturel-distinctif

Elena vient de Sibérie. C’est un lieu avec histoire longue et dure. Mais dans les années 80, les universités en Sibérie étaient très bonnes. Et ses parents sont venus ici pour faire les études. Alors, Elena est née en Sibérie. Pour les raisons familiales, Elena a vécu avec ses grands-parents en Ouzbékistan de 6 ans à 8 ans. Pendant ces deux ans, elle non seulement a fait meilleure connaissance de ses grands-parents, mais aussi a rencontré l’occasion d’apprendre et vivre dans une autre culture. Ce n’était pas très difficile pour elle parce qu’il y avait beaucoup de personnes qui venaient de Russie en Ouzbékistan. Quand Elena était 8 ans, elle est retournée en Sibérie pour finir sa scolarité. Quand elle était 14 ans, elle a été obligée d’aller en Allemagne car sa mère a trouvé un travail en Allemagne. Même si elle a l’expérience de vivre dans différentes cultures, c’est difficile pour elle de s’adapter la vie en Allemagne. Les gens et la culture sont vraiment différents. Les Allemands sourient tous les temps. Bien que ce soit une bonne façon de communication, Elena ne le comprend pas. Deux ans et demi après, Elena avait des amis, apprenait l’allemand et le français, et s’habituait à la vie en Allemagne. Et Allemagne a devenu le deuxième pays qu’elle aimait. Ensuite, Elena a appris le français et l’histoire en Allemagne. Pendant ses études, elle s’intéressait beaucoup à la philosophie et la littérature. Donc, elle est allée en France pour poursuivre ses études. Pour Elena, il y a encore grand différent entre Allemagne et France. Par exemple, la culture et le temps. Pour la future, Elena ne décidé pas de rester dans quel pays, peut-être en Russie, en Allemagne ou en France.


Elena a déjà vécu dans quatre différents pays et appris différentes cultures. Ce n’est pas facile pour elle, parce que tous les changements se sont passés pendant ses scolarités. Et pour les deux premiers changements, elle est obligée de s’adapter. Et elle réussit. J’admire elle beaucoup.

dimanche 23 novembre 2014

Travail pour le 26 Novembre

J’ai choisi le portrait «Ukraine, le goût du pain». Premièrement, le titre du portrait m’intéresse car je pense que l’étudiant va parler de faire la cuisine. Mais, après avoir écouté, il parle de comment il aime aimerait devenir un boulanger. Cela me fait penser à une chose «ce que une qu'une personne choisi choisit n’est peut-être pas la meilleure selon des avis des autres, mais c’est suffisant pour elle». À mon avis, le thème serait «l'emploi, comment choisir le meilleur ?»

Ukraine, le goût du pain
Dan, un ukrainien qui a d’abord fini ses études en Ukraine, a décidé de venir en France pour suivre des études des langues. Mais, ici, il a aussi étudié l’informatique. En plus, pour couvrir la vie en France, il a travaillé à la boulangerie comme un apprenti pendant 2 ans. Cela a lui lui a apporté une passion aux pour des pains français. Même s’il a déjà eu un bon emploi que dont tout le monde rêverait souvent en Ukraine après ses études en France,  il a décidé de le quitter pour revenir en France et commencer à apprendre des façons pour de faire des pains.

Ce serait clair qu’il a eu pris beaucoup de décisions dans sa vie, mais il veut éventuellement peut-être faire ce que peut lui apporter des loisirs comme il a dit. En effet, ce serait très facile de faire quelque chose on adore, c’est-à-dire, on pourrait se sentir très confortable bien, sans tensions et on pourrait bien faire de tout notre cœur. Plus que tout, on serait soi-même. 

S’il va ouvrir une boulangerie après, ce sera possible de dire qu’il peut perdre le temps où il a passé avant pour étudier. À mon avis, je pense qu’il ne perd rien, car ce qu’il a déjà étudié serait très utile pour lui s’il voudrait devenir un patron d’une boulangerie. Je crois que rien ne soit n'est inutile, il y aurait un jour où on peut tout utiliser ce qu'on a déjà appris à l’école et à  dans la vie.  

En général, parmi des les emplois, je suppose qu'il n'y ait a aucun emploi qui est meilleur que des autres. Par contre, il y aurait seulement un emploi qui est suffisant pour vous ou pas. Pour chaque emploi, il faut prendre beaucoup de temps et d'effort pour le bien faire. C'est le réponse pour à la question ci-dessus.

Pour finir, j’ai une recommandation à pour vous, c’est que « suivre suivez votre cœur, faites ce que vous voulez vraiment, cela vous mènera au succès ».

Travail pour le 25 novembre

Danser pour résister
Pour Cassandra Momah, danser est une important chose. Ça fait 3 ans quand elle a vu les filles qui étaient en train de jouer aux cerceaux. Elle a trouvé qu’il est très joli et incroyable. Elle a tombé amoureuse avec les cerceaux. Il y a tellement de styles différentes(tourne la tête, la jambe etc .)

Elle a parlé sa experience d’enfant aussi. Elle a reçu beaucoup de racisme et discrimination. Faire du sports est le façon à relâcher pour elle. Le racisme aux Etats-Unis est plus grave que à paris.  À cause de discrimination, sa vie aux Etats-Unis est assez dure.

Elle a fait 4 ans en biologie et psychologie. Et puis elle a decide à paris grâce à sa experience d’une projet. Elle est à paris depuis 1 an. Elle a trouvé que paris est une ville avec beaucoup d’universités et gens, et beaucoup de gens fument.
Elle continue à danser quand même à paris.  Elle voudrait faire un master en psychologie.

Je pense que faire du sports est une bonne façon de se reposer.
Faire du sport non seulement nous offert la santé mais aussi l’autre avantages.
Par l'exercice physique, on pourrait évacuer le stress, améliorer l'humeur effet positif. Grâce à le sport, on peut rencontrer les gens qui ont le même intérêt. On peux faire des amis pendant l’exercice, qui améliore les compétences sociales aussi.

Pour le racisme, je pense qu’il existe partout. La discrimination entre les races, les pays, les régions etc . C’est difficile d’éliminer le racisme.

Le devoir pour 26 Novembre

Comment être son propre maître?
J'ai choisi le portrait Etre son propre maître
Comment éduquer sans être dans le rapport de force ? Voilà la question que se pose Martín Macías Sorondo depuis des années. Mais, pourquoi il a posé cette question? Martín, fils de militaire, élève indiscipliné, n'avait pas le choix d'école car il a beaucoup déménagé , environ 6 ou 7 fois, et il a toujours changé l'école et la résidence. Il pense que ce sont des voyages et que c'est un méthode d'apprendre.        

Avant, Il a déjà étudié au lycée public qui n'avait pas beaucoup disciplines et au lycée militaire qui avait nombreuse disciplines.  Au lycée militaire, Il n'agissait jamais contre la discipline Je pense qu'il n'y était pas à l'aise et il trouvait que peut-être c'est faux d'être dans le rapport de force. Pour lui, n'import dans famille ou dans l'école il doit observer les autres, par exemple, les parents, les disciplines etc. Il en a souffert beaucoup et il veut le changer pour les autres particulièrement, pour ses élèves. 

Pour les parents, il n'y a pas une solution très agréable de choisir le propre maître pour leurs enfants, Ce que ils peuvent faire est essayer et selon la majorité. En Chine, presque tous les parents espèrent que leurs enfants peuvent entrer aux Grandes universités par le concours chinois. Ce n'est pas la meilleure solution, mais c'est bon. Est-ce que les parents peuvent laisser les enfants choisir ce qu'ils veulent faire? Le réponse est "Non". Les enfants n'ont pas le réflexion d'avenir ou assez consciences et ils font juste ce qu'ils aiment. Mais, comment les parents font? comment font les parents?

Je ne sais pas, mais j'ai quelques choses à partage. En France, les gens aiment le sports et le respectent toujours comme un mode de vie. Les parents laissent leurs enfants choisir un type de sport, par exemple, le jogging, le football, le tennis etc. C'est difficile de choisir aussi. Mais, d'abord, on peut essayer et trouver auquel ils s'intéressent. Ensuite, ils doitvent persister de le faire. Comme Martín, il d'abord veut être ingénieur pour savoir comment le monde marche, après l'avoir essayé, il a trouvé qu'il aimait savoir comment l'humain marche et il a changé la spécialité. En Chine, maintenant il y des solution dans l'école pour les étudiant de trouvent leur goût, Il fait mieux? On verra,          

Le devoir pour 26 Novembre

http://plus.franceculture.fr/factory/le-monde-est-un-campus/etre-son-propre-maitre

Martin Macias Sorondo est un Uruguayen. Après avoir obtenu sa licence de lettres à Montevedio et créé une maison de pholosophie avec des étudiants, il étudie la philosophie à Paris 8 maintenant. Il poursuit une manière d’education ouverte et libre.




La question qu’il a posée est : comment éduquer sans être dans rapport de force? Il croit que c’est l’art qui nous transmet l’esprit humain. C’est mieux qu’on apprend des choses en parlant et partagant avec les autres.

Je suis d’accord avec lui. Il y a trop de disciplines dans les collèges et les lycées: on ne peut pas être en retard, ni sortir d’école sans l’attestation d’enseignant, even faire des décorations sur nos uniformes est interdit. On doit plier nos courtepointes et ranger nos verres et chaussures parfaitement... Ceux qui ne les obéissent pas seront puni et considéré comme mauvais étudiants. Je me sentais dans un prison. Même si j’était jeune, peut-être naïve, pourquoi me demander d’obéir des disciplines sans raisons? Ce que Martin veut trouver, c’est une éducation ouverte et libre, comme la maison de philosophie qui est ouverte à tout le monde et dans laquelle chaqu’un peut exprimer sa propre opinion. Étude n’est pas forcément s’asseoir dans une classe et faire des exercices sans arrêt, comme il’a dit, voyager est un façon d’étude car la vie quditienne est differente pendant un voyage.

Coursera, edx...Plus en plus classes ouvertes sont mise en ligne et suivre un cours en ligne devient une mode dans les étudiants universitaires. J’espère que cette mode se diffuse vers toutes les différents classes et différentes couches de la société, ainsi rendant le monde meilleur.

samedi 22 novembre 2014

Etre notre propre maître


Martin Macias Sorondo est un étudiant uruguayen qui maintenant fait ses études de philosiphie à Paris 8 et poursuit sa quête à la recherche d’une manière d’enseigner ouverte. Comme il est fils de militaire, il a déménagé souvent quand il était petit et il est allés aux écoles différents : les écoles  pour les enfants de militaire et les écoles publics. Donc il était éduqué dans le rapport de force et moins forcé. En raison de ses expériences, il a posé une question que comment on peut éduquer sans être dans le rapport de force ?

Ce point m’intéresse parce que je l’ai reflechi aussi. En Chine, à cause de la
atmosphère très concurrentiel, la pluspart d’étudiants sont éduqués forcés. Ils ne savent pas leur avantages et goûts. Toutes sont arrangé par leur parents : leur spécialités et leur emplois du temps. Certains de mes camarades trouvent qu'ils n'aiment pas leur spécialité après entrer l'université mais ils ne veulent pas changer parce qu’ ils sont manipulés habituellement et ils ont perdu leur consciences d’être leur propre maître.

Cette phénomène est très deplorable! Et Je pense que c’est vraiment important pour nous d'étre notre propre maître. Parce qu'on peut trouver notre valeurs et vivre plus heureusement avec cette consience.

Travail pour le 26 novembre


Aïssatou vient de conakry, la capitale de Guinée. Elle a une grosse famille avec 14 frères et soeurs. Dans son pays, ce n'est pas courant pour des filles d'aller à l'école. Mais elle est allée au collège et au lycée grâce au soutien de son père. Malgré elle est mariée lorsque elle était dans l'université, elle a choisi de divorcer pour suivre ses études. Dans la webradio, elle souligne quelques fois l'importance de réaliser son rêve et elle aime combattre avec des garçons, cela explique pourquoi elle a envie de rechercher les disciplines scientifiques. Pour elle, n'importe quoi est plus essentiel que l'étude.
Quel est l'objectif final pour une femme en sa vie? Soit qu'elle poursuit les choses qui l'intéressent, soit qu'elle devient une membre de famille et travaille quotidiennement? Bien que la notion d'égalité entre des hommes et des femmes est acceptée presque universellement, mais parfois les gens considèrent l'indépendance comme l'égalité. La question maintenant n'est pas plus si une femme est assez indépendante ou pas, mais plutôt si elle a des libertés pour réaliser son rêve réel. C'est-à-dire que même si de plus en plus des femmes sont indépendantes par rapport à ses travaux et ses éducations, combien entre elles peuvent poursuivre leurs objectifs sans souci de famille et des autres choses? Je pense que Aïssatou est vraiment courageuse. Sa passion et détermination sont ceux que j'admire bien. Mais est-ce que cela est le choix propre pour chaque femme, j'ai un doute.

Giulia Zago - FLECG1 - Sélection de portraits

Aujourd'hui j'ai écouté le portrait d'Anna Sazhina (vous pouvez le retrouver ici ), qui viens du Kazakhstan. J'ai choisi ce portrait parce que j'étais intrigué par le fait qu'elle travaille dans le monde de la mode et rêve de developer ce domaine aussi dans son pays. J'aime beaucoup ce sujet et je me demande comment est perçu là-bas.
Anna dans l'interview explique que la mode et le luxe sont un marché en développement au Kazakhstan: les gens aiment s'habiller bien et donnent beaucoup d'attention à l'apparence, spécialement dans les grandes villes. Mais la façon de s'habiller c'est plus conventionnelle, alors que en France il y a beaucoup des gens qui attirent le regard par leurs habille.
En ce qui concerne le maquillage, la situation est opposé: en France les jeunes sont naturelles et les dames âgées se maquillent, par contre en Kazakhstan sont plutôt les filles qui prennent soins de ses mêmes et puis elles n'ont plus le temps pour faire ça.
J'aimerais savoir plus sur ce sujet, en particulier quels sont les modes dans les pays les moins développés: si sont les mêmes qu'ici en Europe ou si sont un peu différentes.


Travail pour le 26 novembre


Je choisi une étudiant libanaise -- Mia Maria Warde.


Mia Maria Warde est une étudiante libanaise. Grace à son père qui est Brésillien—Libanais, elle a deux passeports en même temp—passeport brésillien et libanaise. Elle est née juste avant la fin de la guerre civile mais elle n’est pas souvient la situation après la guerre. Il y a quantité de photos de Beyrouth avant et après la guerre. Jusqu’à maintenant, il existe les immeubles détériorés à cause de la guerre.
Et puis, elle est trilingue incluant anglais, arabe et français. Elle a commencé ses études à lycéen français, parce que ses parents pensent que c’est important de parler français. Pendant son étude à français, elle décide à apprendre portugais pour la visite à Brésil plus tard.
Après ses études au lycée francais, elle a décidé de continuer ses études en classes preparatoires HEC et puis étudier à Grand École de commerce à Grenoble sur marketing parce que elle a envie de travailler sur ce sujet. Elle a une semestre à l’étranger et elle a choisi Singapore. Pendant la vie à Asian, Elle a connu bien la façon de vie là-bas.

Elle rêve de avoir propre entreprise pour assister les pauvers à Liban. 
http://plus.franceculture.fr/factory/le-monde-est-un-campus?page=3



Isabelle est née  au Yakoutie,située dans le nord-est de la Sibérie. Quand elle était petite ,elle a pris le cour de langue,et elle a éprouvé qu'il y a des Ruisses ,des langue différentes dans la région.Elle a étudié au Yakoutie jusqu'à seize ans.Elle a le rêve de ingénieur parceque son père est ingénieur au Yakoutie,donc après  elle  a passé un examen au Yakoutie, elle est parti à Moscou quand elle était dix-sept ans.En Ruisse ,tous les universités sont au Moscou. Quand elle a étudié à Moscou, elle était résident dans son université ,et la chambre était trop petite.Elle a appris beaucoup de choses nouvelles dans sa spécialité . Après elle a fini sa étude à Moscou elle est parti à Paris pour son mastère. Elle habite à cité U,et il y a tous les facilités pour les étudiants .Elle est heureuse avec des amis.
L'expérience  de moi est similaire . Je habite avec ma famille dans une petite ville,et après le examen de Gaokao je suis parti au Nanjing qui a une distance de 600 kilomètre chez-moi.

C'était la première fois que je suis allé au Nanjing. Ça fait long temps pour que j'ai me adapté la vie  dans mon université. Ensuite je suis parti à Paris après j'ai fini mon université en Chine. Il y a beaucoup de difficultés pour me adapter la vie et la étude en France. Je suis complètement fatigué parfois. Mais c'est la vie pour un étudiant étranger . 


mardi 18 novembre 2014

FLCG3 - Consignes de travail pour le 27 novembre et le 4 décembre

Prenez le temps de bien lire les consignes 

Travail individuel, pour tous les étudiants
durée de travail estimée : 2h
date limite : le 25 novembre (Grp. A) et le 2 décembre (Grp. B)


1 - Lire les commentaires de votre premier article faits par votre enseignante, il s'agit de commentaires sur la forme de votre travail et de corrections bien précises à mémoriser. Attention il y a même parfois un travail de reformulation à faire (répondre via un commentaire)

2-  Lire et écouter un portrait présenté lors de la première séance par un étudiant de votre groupe. Jeu de questions-réponses entre 2 étudiants (écrire dans les commentaires) : l'un rédige 2 ou 3 questions (en utilisant des pronoms interrogatifs - qui, quand, où, comment...) et l'autre lui répond. Les questions s'appuient sur les éléments notés dans l'article déjà rédigé.

3 - Poursuivre la découverte de la webradio "le monde est un campus" : sélectionner 1 nouveau portrait qui vous intéresse. Choisir un pays que vous ne connaissez pas bienCréer un article avec les 3 libellés :  "votre prénom" + "FLECG1" + "sélection de portraits",  indiquer le lien vers le portrait choisi et définir un thème qui vous intéresse. A partir de ce thème, faire un commentaire personnel de 10 à 15 lignes. 

4 - Pensez bien à poster votre article au moins deux jours avant le cours !



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Point méthodologique : 
  • Comment écouter un reportage 
    • 1ère écoute pour prendre connaissance du contenu et mesurer votre niveau de compréhension. Notez ensuite ce que vous retenez. 
    • Faites une 2ème écoute et complétez vos notes. Faites des hypothèses sur les éléments mal compris puis utilisez le dictionnaire pour vérifier le sens des mots. Relisez vos notes à haute voix. 
    • Essayez toujours de répondre aux questions suivantes : De quoi s'agit-il ? Qui parle ? Où ça se passe ? A quel temps les verbes sont-ils conjugués ? Quels sont les mots importants qui définissent le contenu ? Quelles sont les difficultés de compréhension pour moi (rapidité, trop de mots nouveaux, accent...) ?

mercredi 12 novembre 2014

Huy FLE-CG3

J’ai choisi deux portraits: Lucy Gardner, une étudiante américaine et Nguyen Hoa My, une étudiante vietnamienne. Toutes les deux aiment apprendre le français et racontent les différences culturelles en plus des expériences de vivre en France qui m’intéresse bien.

Lucy est née à Oberlin, une petite ville universitaire de l’Ohio. Donc, elle sait bien la vie étudiante aux États-Unis. Elle pense que les étudiants américains habitent souvent sur les campus universitaire alors que les étudiants français tendent vivre avec leur parents pour économiser. Elle voit aussi que le nombre d’étudiants américains qui obtiennent des emplois du temps partiels est plus élevé que le nombre d’étudiants français. En France, on peut voir des groups des amis qui se composent d’une fille et de nombre des garçons mais aux États-Unis il y a souvent des groupes de filles, des groupes de garçons, ou des groupes mélangés. D’autre part, la sophistication du français lui fait bon impression. À son avis, la langue du français permet aux jeunes français de parler plus gentiment. En outre, les Français dépensent plus de temps pour des petits plaisirs.

Hoa My est née à Hanoï, la capitale du Vietnam. Elle a commencé apprendre le français au collège dans une classe bilingue (vietnamien-français). Après obtenir le baccalauréat au Vietnam, elle a continué ses études en littérature français en France. Au début, elle avait des difficultés à comprendre les notes, écouter et répondre les professeurs, et parler aux autres. Ses autres expériences sont les manières d’apprendre la littérature et la philosophie. En philosophie, elle a appris une autre manière complètement différente à réfléchir. Elle a obtenu son master 1 à l’université Paris-Sorbonne et maintenant elle suit un master 2 à l’école de commerce l’INSEEC. Elle n’est pas sûre si elle reviendra au Vietnam après ses études ou restera et travaillera en France. Elle travaillera peut-être dans une organisation culturelle comme l’UNESCO dans l’avenir.