Amira Jumaa, elle est Koweïtienne. A cause de un film dans lequel deux filles américaines se sont fait voler par les français, elle a eu peur d'aller en France. Mais deux mois plus tard, elle s'est habitué à la vie dans lequel elle a osé marcher dans la rue tout seul. Quand elle a été à sa première année, elle n'a pas aimé la France et a rentré chez elle quatre fois par an. Petit à petit, elle n'a pas voulu rentrer au Koweït bien qu'elle ait pensé à ses parents.
Son père est Koweïtien et sa mère est palestienne de jordanie. Ce que elle a obtenu à partir de sa mère est l'esprit libre. Grâce à son esprit, elle peut peser le pour et le contre et avoir son propre ponit de vue. Au Koweït, traditionnellement, les gens ne peuvent pas sortir en short et l'alcool est interdit. Mais elle pense que on doit respecter les cultures différents.
Elle a fait ses etudes dans un lycée bilingue où il y a anglais et arabe. Et ses parents pensent que l'anglais est très important à étudier à l'étranger. Quand elle etait 15 ans, c'est tout intéressant de disputer avec les autres personnes et avoir les points de vues différents. Donc, elle a voulu devenir avocat, et a étudié le droit. Pourquoi a-t-elle choisi les études en France?
Tout le monde connaît que la France a une bonne reputation sur le droit. Au début, elle a voulu aller à sorbonne, et puis a connu Science-po, donc l'intégré.
A Sciecne-po, elle a troué que il y a tant de points de vues différents qui concernent la politique et quelques-uns qui elle ont demandé plusieurs questions sur des Arabes, de l'Slam ou sa vie quotidien comme "comment apprends-tu le francais?" A sa troisième année, elle va aller aux Etats-unis pour découvrir la vraiment culture américaine. Après ses études, elle veut travailler à l'étranger.
Elle pense que l'amour n'est pas assez important dans sa vie.
Wei, le travail demandé n’était pas un travail de compréhension orale et de présentation de l’étudiant interviewé. Il s’agissait surtout de choisir dans ce portrait un sujet, un thème qui vous intéressait et de le développer (pourquoi le choix e ce sujet, ce que vous en pensez…).
RépondreSupprimerIl y a cependant de gros progrès dans la rédaction, la syntaxe de vos phrases.
Attention cependant à bien relire votre texte : il y a des erreurs d’orthographe certainement dues à l'inattention, à un travail rédigé peut-être trop rapidement.
Corrections grammaticales :
- Plus simple : « Amira Jumma est koweitienne »
- De + un = d’un
- Attention aux accords, quand le sujet est féminin, pensez à faire l’accord sujet/verbe et sujet/complément.
- « Pendant sa première année… »
- Verbes de mouvement toujours conjugués avec l’auxiliaire être. C’est le cas de « rentrer ».
- Majuscule aux noms de pays.
- « ce qu’elle a obtenu à partir de sa mère « > « ce dont elle a hérité de sa mère ». L’héritage est ce qui nous est transmis par nos aînés, ce peut être de l’argent, des biens matériels, mais aussi des traits de caractère, des goûts….
- « Il y a de l’anglais et de l’arabe »
- Avoir pour indiquer l’âge.
- Attention à la concordance des temps : si 1er verbe au passé, le 2ème sera sans doute au passé également.
- « Tout le monde sait que… »
- « donc l’intégré » ; manque l’auxiliaire avoir.
- Revoir l’utilisation des relatifs QUI/QUE
- « Pour sa troisième année »
- « la vraie culture américaine » : ce que vous voulez qualifier c’est un groupe nominal pas un verbe et « vraiment » est un adverbe.
Amira Jumaa : « Vous n’appartenez à aucun endroit de ce monde, c’est pour ça que vous [les juifs] êtes des ordures, des rats, et que vous êtes discriminés partout où vous êtes. Ne faites pas portez la responsabilité aux pauvres palestiniens ».
RépondreSupprimerApparemment elle a appris le français pour développer sa haine antisémite. Elle veut envoyer les juifs au four. que fait elle à Sciences Po?????????